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Work smarter not harder 🧠

Notre leitmotiv pour faciliter la vie de nos clients n’a jamais été autant d’actualité pour les Eskeriens !
En début d’année, nous venions tout juste de mettre en place le télétravail à raison d’une journée par semaine. La majorité des aspects opérationnels avait pu être appréhendée au préalable. Avec les annonces de confinement et le télétravail généralisé, il a fallu plus que jamais faire preuve d’agilité. Dès le 17 mars, 93% de nos équipes étaient en télétravail. Les 7% restants correspondent à l’effectif de notre usine courrier de Décines, dont les postes nécessitent une présence sur site.

Nous avons dû adapter nos façons de travailler. Comme nous sommes agiles, chaque équipe a eu la main pour mettre en place les outils ou rituels nécessaires à son bon fonctionnement. Il a fallu veiller à maintenir le lien, la fluidité des échanges et l’efficacité des daily.

Nos Scrum-Masters ont tenu leur rôle de facilitateurs pour envisager les meilleures solutions en s’adaptant à chaque situation : salles de tchat, one-to-one, canal vocal permanent pour reproduire les discussions informelles du bureau, dématérialisation des dashboards remplis de post-it, systématisation de la vidéo dans certaines équipes. Nos équipes de l’informatique interne ont eu à cœur d’offrir la même expérience de travail chez soi qu’au bureau. Au tout début du confinement, toutes nos équipes R&D sont passées de Skype à Microsoft Teams en moins d’une semaine alors que la migration était initialement prévue pour la fin d’année ! 

L'agilité en télétravail chez Esker - Episode 1

Notre priorité n°1 : le bien-être en télétravail 🧘

En cette période singulière, la santé des collaborateurs passe avant tout. Alors, comme d’habitude, une attention particulière a été portée au bien-être des Eskeriens, même à distance ! En télétravail, cela consiste surtout à maintenir un équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle, un environnement confortable, une activité physique régulière et de la convivialité. C’est bien connu : la frontière entre vie professionnelle et vie privée est beaucoup plus ténue en télétravail. Donc, nous avons beaucoup insisté sur l’importance de la déconnexion et de prendre des pauses régulières. L’amplitude de travail a été aménagée pour permettre à ceux qui le souhaitaient de commencer et donc terminer leur journée plus tôt ou plus tard.

Les managers et Scrum-Masters étaient sensibilisés et attentifs au moral des troupes pour réagir dès les premiers signes de difficultés. Ainsi, les équipes se sont organisées pour dégager du temps aux parents qui devaient s’occuper de leurs enfants. Les collaborateurs ont aussi été sensibilisés à l’ergonomie de leur poste de télétravail et une allocation a été mise en place en fin d’année pour contribuer aux dépenses de petits matériel, d’électricité, etc.
Au moment du déconfinement, les Eskeriens qui le souhaitaient ont pu revenir au bureau à leur rythme, et ceux préférant télétravailler ont pu continuer à le faire.

Une culture à toute épreuve ! 💪

La situation nous l’a prouvé une fois de plus : notre culture d’entreprise constitue notre ADN, nos valeurs. Elles nous lient, peu importe la distance ! En fait, elles nous rassemblent et nous ressemblent. Aussi, on peut dire qu’elles nous ont permises de maintenir l’esprit d’équipe et la motivation pour poursuivre notre croissance encore cette année.



Ce qui fait de nous des Eskeriens :

🌏+750 Eskeriens répartis dans nos 14 filiales internationales
👍 Une organisation horizontale basée sur le respect et la confiance
💡 Des équipes agiles drivées par l’innovation, le partage et l’amélioration continue
💙Une ambiance positive et conviviale
🎯 La satisfaction de nos clients et collaborateurs pour mission

D’ailleurs, notre valeur “One team beyond boundaries”, qui caractérise habituellement la proximité de toutes nos équipes à l’échelle internationale prend depuis mars une toute nouvelle dimension, que nous aurions difficilement imaginée en début d’année ! La distance a changé d’échelle. Celle-ci constitue une nouvelle frontière à laquelle nous devons faire face : peu importe le nombre de kilomètres, nous utilisons désormais les mêmes outils pour maintenir le lien entre nous. Cela, que nous habitions tout près ou à l’autre bout du monde !

Pour mettre un peu de peps dans nos journées confinées, notre comité Fun@work a organisé des concours photo (Home office, happy Xmas), un blind-test sur les valeurs Esker, et plusieurs challenges de codes (Battle-Dev et CodinGame). De manière plus informelle, les équipes organisaient leurs propres pauses café virtuelles, pause-déjeuner sur Discord ou afterwork BoardGameArena ! Des boîtes à idées ont été créés pour partager nos trucs et astuces : activités sportives, comment occuper les enfants… Un beau combo de nos valeurs “Good vibes only” et “Dare to innovate, initiate and iterate” !

Notre équipe Training s’est prêtée au jeu du concours photo

Nos équipes ont continué de grandir 👋

A l’image de notre croissance, nos équipes ont continué de grandir pendant cette situation inédite.
Depuis avril, nous avons ainsi accueilli 42 nouveaux Eskeriens dans nos différentes équipes, dont 17 développeurs. Intégrer de nouveaux collaborateurs en cette période a constitué un challenge supplémentaire afin de les accompagner au mieux dans leur prise de poste. A leur arrivée, ils devaient récupérer leur matériel au bureau selon un planning défini, puis rentraient ensuite chez eux pour suivre les deux premières semaines de formation commune à tous les nouveaux Eskeriens avant de commencer leurs missions en remote. Pour les développeurs, certaines équipes ont mis en place un système de parrainage, et la grande majorité, du pairing à distance : l’un des meilleurs moyens pour progresser rapidement. Celles et ceux qui sont arrivés pendant le déconfinement ont pu tester la vie de bureau, même si les consignes sanitaires et le roulement des collègues la rendait forcément bien différente qu’en temps normal. Les équipes accueillant une nouvelle recrue ont été très attentive à sa bonne intégration et cela se ressent dans le feedback très positif des nouveaux !

La promo des nouveaux de Septembre pour le premier jour de formation

 

La parole aux Eskeriens 🎙️ 

Pour nous immerger encore un peu plus dans l’univers du télétravail chez Esker, Laura, Ingénieure Systèmes/DevOps chez Esker depuis 7ans et Théophane, Développeur en équipe fonctionnelle arrivé en juin, nous ouvrent la porte de leur bureau et nous livrent leur ressenti.

Comment s’est passée ton intégration chez Esker, en cette période particulière ?

Théophane : Je suis originaire de la région nantaise. Au début du confinement, j’ai trouvé un CDI chez Esker, en tant que Développeur au sein d’une équipe fonctionnelle et agile. Dans mon équipe, nous étions deux nouveaux à arriver le 1er juin. Nous avons été accueillis par notre Scrum Master, le reste de l’équipe étant en télétravail selon les recommandations de l’entreprise. Nous avons quand même pu visiter les locaux et installer notre poste de travail avant de rentrer chez nous pour suivre, en remote, les deux semaines de formation commune à tous les nouveaux Eskeriens. J’ai ensuite pris mon poste en revenant une à deux fois par semaine au bureau.

Puis, j’ai eu la chance de pouvoir travailler en pairing sur place pour monter en compétences plus rapidement. Ensuite, j’ai pris en charge mes propres cases. Mon équipe a été très présente pour répondre au fur et à mesure à toutes mes questions. Nous n’utilisions pas forcément les caméras pour les dailys, donc je ne connaissais certains collègues que de voix. Trois de mes collègues venaient régulièrement au bureau et m’ont présenté à pas mal de personnes dans l’entreprise. Aller courir ou manger avec d’autres équipes (en respectant les distances !) a aussi beaucoup facilité mon intégration. Tout le monde a été hyper avenant et accueillant. Je me suis rapidement senti bien chez Esker. Comme c’était ma première expérience professionnelle, je me suis adapté assez facilement à la situation et au télétravail.


Comment t’es-tu adapté(e) à ton nouvel espace de travail à la maison ?

Laura : Je fais partie de l’équipe en charge de l’administration de l’infrastructure sur laquelle tourne notre plateforme Saas. Comme nous hébergeons nous-même une partie de notre infrastructure, nous avons dû nous relayer régulièrement pour nous rendre au data center, situé à proximité de nos locaux. Contrairement à la grande majorité de nos collègues d’autres services, nous avons tour à tour été amenés à retourner de temps en temps au bureau pendant le confinement.

Auparavant, il m’arrivait de télétravailler occasionnellement, dans le cadre d’astreintes de nuit pour gérer des soucis en lien avec notre production. En termes d’organisation, j’avais donc cet avantage d’avoir déjà télétravaillé avant. Il a d’ailleurs fallu organiser différemment nos astreintes avec l’équipe puisque nous ne pouvions plus nous faire passer le téléphone d’astreinte au bureau. Ce sont donc les Services Généraux qui ont fait le relai entre nous tous, allant jusqu’à relier les Monts d’or à Saint-Etienne ! Le reste de mes missions s’est fait en télétravail. Je suis mariée avec un Eskerien et nous avons notre propre open space Esker à la maison ! Comme nous sommes tous les deux passionnés de jeux vidéo, nous avons un set’up de compétition : des ordis performants et de grands bureaux pour être à l’aise. Nous avons eu la chance d’emménager dans notre nouvelle maison à la campagne début mars et on nous a installé Internet deux jours avant le premier confinement. On peut dire que les astres étaient alignés, et la force avec nous !


Théophane : Dans l’appartement que j’ai pris en janvier en arrivant à Lyon, j’ai la chance d’avoir un coin bureau. Je travaille sur mon PC portable perso, via lequel je me connecte à mon bureau Esker. Par contre je n’avais pas de chaise : pour me détendre le dos, j’ai pour habitude de me pencher en arrière sur ma chaise. Résultat : j’ai cassé ma chaise au bout de deux semaines ! Quand j’ai commencé à développer, avoir un deuxième écran est aussi vite devenu une nécessité. J’ai donc investi pour m’acheter une chaise et un grand écran, qui me serviront même en dehors du travail. Esker nous a justement attribué une allocation de fin d’année pour nous dédommager des éventuels achats de matériels de ce genre.


Quelle est ta routine quotidienne ?


Théophane : J’ai à peu près le même rythme en télétravail que lorsque je me rends au bureau. Je me lève à 8h30, je me prépare en un quart d’heure et je commence ma journée. La seule différence c’est qu’en télétravail, je gagne les 10 minutes de trajet en vélo (parfois bien utiles pour terminer de se réveiller !). Au bureau, nous avions l’habitude de nous retrouver avec quelques collègues dans notre grande salle café alors qu’en télétravail, je ne prends pas forcément de pause-café le matin. Si j’ai besoin d’une petite pause, je change juste de fenêtre quelques minutes pour regarder une vidéo YouTube par exemple.

Laura : Au réveil, on s’occupe de nos deux chiens, qui sont les plus heureux du monde de nous avoir avec eux à la maison ! Notre journée de travail commence vers 8h30, nous sommes tous les deux plutôt synchro là-dessus. Durant le confinement n°1, le midi, c’était barbecue en terrasse, suivi d’un tour du potager pour s’assurer que tout poussait bien. En hiver, le deuxième confinement est un peu moins passionnant ! A défaut de regarder pousser nos baby tomates, c’est la saison des gousses d’ail… On peut dire qu’on profite pleinement de notre nouvelle vie à la campagne !

 

Comment gardes-tu le lien avec le reste de ton équipe ?

Théophane : En télétravail, on ose peut-être moins facilement lancer des discussions informelles et les blancs dans les discussions peuvent être un peu pesants. Malgré cela, l’ambiance dans l’équipe est restée bonne et nous avons su maintenir le lien entre nous. Une pause café est organisée tous les matins pour ceux qui le souhaitent, des salles de Tchat sur Teams ont été mises en place et nous nous appelons souvent en petits groupes pour des échanges informels. Nous avons aussi organisé une fois une pause Among Us bien sympa, à refaire !

Laura : Une partie de mon équipe est située aux US, avec eux, le télétravail ne change pas grand-chose. Nous continuons nos stand-up quotidiens tous les matins, où la parole est donnée à tout le monde. On partage un certain nombre de stories, ce qui nous assure d’avoir, chaque jour, 4 ou 5 personnes de l’équipe au téléphone. Nous n’avons aucun souci à nous appeler en cas de besoin ou de manière plus informelle et nous avons réussi à maintenir une très bonne ambiance. Nous avons organisé quelques apéros virtuels via Go to meeting et un moment convivial avec la team US sur scribble.io en tenant compte du décalage horaire : côté US sur la pause déjeuner et côté France en afterwork.
Autre avantage du télétravail pour ma part : je suis aussi un peu infiltrée dans l’équipe de mon conjoint 🙂

 

Qu’est-ce qui égaye tes journées en cette période ?

Laura : Les toutous !

Théophane : Le beau temps, quand c’est le cas. Le mois dernier, je me suis confiné chez mes parents à Nantes pour voir mes sœurs et profiter un peu du jardin. Je suis rentré sur Lyon début décembre pour reprendre mes cours de tennis.
Dans le cadre du travail, achever une tâche de dev égaye aussi mes journées.
Et enfin, cuisiner un bon repas ! Rien de mieux qu’un poulet tikka massala et ses champignons pour égayer une journée confinée !


Qu’est-ce qui a changé avec le déconfinement ? 

Laura : Esker nous a donné la possibilité de continuer à travailler principalement de chez nous. Le télétravail est resté la norme, même bien après le déconfinement. Nous sommes progressivement retournés au bureau deux jours minimum par semaine, seulement à partir de début octobre. Les collègues qui en ressentaient le besoin pouvaient revenir plus souvent et les équipes se sont relayées pour faire en sorte que nous ne soyons pas trop nombreux dans les locaux. Nous avions aussi la possibilité de décaler nos horaires, pour éviter de croiser trop de monde sur la route, ou dans les bureaux. Finalement, c’est un peu comme si mon déconfinement pro n’avait duré que 3 semaines. J’ai dû retourner au bureau à peine une dizaine de jours depuis mars et même au sein de l’équipe, nous n’avons pas tous eu l’occasion de nous revoir. Les quelques pauses café entre collègues ont, en tous cas, été très appréciables. 

 

Si tu devais comparer le premier et le deuxième confinement ?

Laura : Au niveau de l’organisation de l’équipe presque rien n’a changé d’un confinement à l’autre. Nous avons su nous adapter très vite. Certains collègues devaient gérer leurs enfants durant le premier confinement, donc pour eux, la situation est désormais plus confortable.

Théophane : Pendant le premier confinement, je n’étais pas encore chez Esker. Du coup je ne peux pas vraiment comparer ! Je suis arrivé le jour du déconfinement et grâce à la première phase de travail en remote, tout était opérationnel. Pour le deuxième confinement, j’appréhendais un peu de télétravailler à 100%. Je n’osais pas toujours solliciter mes collègues. Lorsque j’alternais télétravail et travail en présentiel, j’avais l’impression d’être moins efficace en télétravail. En gagnant en aisance et en autonomie dans mes missions, je me suis rendu compte que j’étais finalement aussi actif en télétravail. C’est juste une autre forme d’organisation : il faut prendre ses marques et faire attention aux éléments qui pourraient nous divertir en s’imposant une certaine discipline.
Au départ j’ai assez mal vécu d’être seul toute la journée, mais maintenant ça va, je survis !

 

Qu’est-ce qui te manque le plus en télétravail ?

Théophane : En télétravail, il est plus difficile de faire la coupure et de se dire : “ça y est ma journée est terminée”. Si une tâche nous trotte dans la tête, on peut être tenté de se dire : “l’ordi est juste là, hop on branche le VPN, on s’y met et on n’en parle plus.” C’est compliqué pour moi de changer d’air puisqu’il n’y a que mon bureau dans mon studio. C’est pour cela que je suis allé chez mes parents un moment, puis décidé de rentrer chez moi. Ça fait du bien de changer de cadre !
Et puis forcément, le contact avec les collègues, et de manière générale avec d’autres personnes.
On ne peut pas dire que ça me manque puisque je n’ai pas encore pu y aller, mais les restaus et les afterworks Esker ont l’air sympas, hâte de tester !

Laura : Les restaurants avec les collègues à côté du boulot ! Il n’y a pas beaucoup de restaus près de chez moi à la campagne, et les collègues sont loin…

 

Globalement, que penses-tu du télétravail ?

Laura : Entre le cadre de travail et le gain de temps de transport (entre 45min et 1h en train), ce n’est que du positif pour ma part, mais je reconnais que j’ai vraiment une situation privilégiée. Nous avons accueilli 3 nouveaux dans mon équipe depuis mai. Pour eux, c’était important d’avoir un contact physique. Encore plus pour ceux qui ont dû emménager sur la région ou pour qui c’était la première expérience professionnelle. L’un d’entre eux n’avait pas pu se faire installer une connexion Internet à temps dans son nouvel appartement, et a été contraint d’aller au bureau à cause de cela… Nous avons essayé de les encadrer autant qu’on le pouvait en mettant en place un système de parrainage dans l’équipe. J’étais la marraine d’Arthur, l’un de nos nouveaux, arrivé en mai. Nous avons passé de longues journées en call à binômer en partage d’écran, ce n’était pas toujours facile à gérer.

Théophane : Ça pourrait être mieux, mais je suis content d’avoir un travail en ce moment. La convivialité est forcément moins présente mais, les discussions dans le bureau aussi, et ça permet de se concentrer davantage, dans un environnement plus calme. Je peux comprendre ceux qui préfèrent télétravailler pour cette raison ou pour l’équilibre que ça apporte au quotidien. Pour ma part, je pense qu’à force, le télétravail peut être usant et je trouverais assez étrange de travailler pour une entreprise sans jamais la voir. Je suis plutôt de la team travail en présentiel pour le cadre. Mais aussi la convivialité et la motivation que cela apporte. En télétravail, on échange rarement avec des personnes en dehors de l’équipe et pour la vie d’entreprise, cela peut vite être limitant.

 

Home sweet home ? 🏠

Nous avons pu constater que le télétravail représentait une source indéniable d’équilibre et de bien-être pour de nombreux collaborateurs. En éliminant les trajets domicile-travail, c’est aussi un levier de performance et de préservation de l’environnement. C’est pourquoi, même bien après le déconfinement, le choix a été laissé à chaque collaborateur de revenir au bureau au rythme où il le souhaitait ou de poursuivre en télétravail. Progressivement, certains collaborateurs ont ressenti le besoin de revenir au bureau et plus d’1/3 des Eskeriens étaient présents dans les locaux après l’annonce du déconfinement.

Ensuite, nous avons été incités à revenir au bureau au moins deux jours par semaine à partir de début octobre, puis le deuxième confinement est survenu assez vite. Au vu de la situation actuelle, il est encore difficile de se projeter sur l’après… Mais nous savons déjà qu’un rythme 100% télétravail ne correspondrait pas au mode de fonctionnement d’Esker.
Au fil des mois, nous avons pu constater l’importance de notre culture pour maintenir le lien dans l’entreprise, même si actuellement, le champ des possibles pour la faire vivre est forcément limité.

Nous avons constaté que télétravailler à temps complet et sur une aussi longue durée comportait des risques pour la transmission de nos valeurs et du sens que l’on peut trouver au travail. Il crée des difficultés pour l’intégration de nouveaux collaborateurs, et peut être source de tensions et d’isolement.

Finalement, la co-construction, l’échange et l’innovation s’entretiennent surtout par des échanges informels et du relationnel, favorisés par le travail en présentiel. Nos locaux et nos événements sont également fédérateurs et on peut dire que cette année, les company meeting autour d’un cocktail, la traditionnelle soirée de fin d’année, ainsi que les ateliers, afterworks, sorties thématiques et autres soirées jeux ont beaucoup manqué !

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Marcy Charollois

Auteur Marcy Charollois

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