Elliot, figurant parmi le top 3 des #BestCoders JavaScript de mai, nous explique pourquoi il a participé au concours et ce qu’il en retire.
Envie d’intégrer le classement des #BestCoders de juin ?
Je passe un test tech pour intégrer le classement !
1- Salut, comment as-tu envie de te présenter à la communauté de développeurs JobProd ?
Mon prénom est Elliot, je suis actuellement étudiant à EPITECH, en passe de commencer ma 5ème et dernière année d’école. Je suis spécialisé au travers de ma formation dans le développement logiciel. Depuis un an et demi je m’investis sérieusement sur l’apport de la réalité virtuelle au domaine éducatif. Dans ce cadre je travaille sur un projet nommé BeaVR ayant pour objectif de proposer à tous une plateforme web de création d’applications utilisant la réalité virtuelle ne nécessitant aucune compétence technique. Si ma formation m’a donné des compétences axées sur le développement logiciel, la demande actuelle du marché m’a fait évoluer vers les technologies web dans lesquelles je développe désormais la majorité de mes projets.
Les technologies que j’utilise couramment lors des développements logiciels sont le C++ et le C# (je suis assez convaincu par l’environnement de développement Windows, fanboy Visual Studio). J’ai toujours fui le Java en développement logiciel qui, je pense, sera abandonné dans un futur plus ou moins proche. Concernant les technologies web, j’aime le JavaScript, je l’aime à tel point que je développe aujourd’hui mes projets avec une nouvelle version du JavaScript qui n’est pas encore supportée par les navigateurs (ECMA 6 – pour le public averti). Je suis persuadé que ce langage est l’avenir dans la mesure où il peut servir en front comme en back. Evidemment NodeJS/Angular-Backbone sont du coup également des technologies avec lesquelles je travaille quotidiennement. Niveau front interface j’ai tendance à travailler avec Semantic-UI plus que Bootstrap dont je ne suis pas particulièrement fan du contenu. En web je ne travaille peu, voire pas du tout, avec le PHP. Comme pour le Java en logiciel, je ne suis pas persuadé que ça ait un grand avenir.
De tous les projets que j’ai été amené à faire dans un contexte scolaire, et hors contexte scolaire, je peux décemment avouer que ceux qui ont su m’intéresser étaient ceux ou je ne maitrisais pas les environnements techniques. J’aime ce challenge de devoir maitriser l’inconnu et la perspective de réellement évoluer d’un point de vu personnel par l’accomplissement d’un travail.
2- Pourquoi as-tu passé des tests en ligne sur JobProd ?
Je suis tombé sur la plateforme de tests JobProd, un peu par hasard. Toutefois j’étais curieux de voir ce que cela pouvait m’apporter. Aimant les défis je me suis dis que cela ne me couterait pas énormément de temps d’aller passer quelques tests tech pour confronter mon niveau à d’autres développeurs. Si les résultats obtenus ne sont globalement pas mauvais cela m’a rappelé avec une certaine humilité que j’avais encore bien des choses à apprendre. Je trouve ça d’ailleurs bien de pouvoir se dire que malgré l’utilisation quotidienne de certains langages, nous avons toujours à apprendre davantage.
3- Quel(s) conseil(s) as-tu envie de donner aux codeurs qui essayeront de décrocher les premières places des #BestCoders de juin ?
Je ne sais pas s’il y a vraiment des conseils à appliquer à des questions de connaissance. Soit vous connaissez bien votre domaine, soit il vous reste encore des choses à acquérir. Le seul conseil que je pourrais prodiguer, c’est de ne pas se formaliser sur des résultats. Rome ne s’est pas faite en un jour, et on ne peut pas connaitre toutes les subtilités de certains langages/frameworks en à peine quelques utilisations. Cela demande de la pratique, et de la patience. Quant aux tests répondez juste ce qu’il vous vient. Les réponses venant par automatisme sont souvent les meilleures.
4- As-tu envie de défier un ami sur la plateforme de tests tech ?
Un ami avec lequel je travaille régulièrement aime également les défis. Je suis persuadé que Pierre-Antoine serait intéressé de pouvoir situer son niveau sur le marché. Après tout qui ne rêve pas de se dire qu’il est dans les meilleurs ? Pensée un peu mégalomane certes, mais tellement humaine, à qui apprécie la compétition.