Stéphane, classé dans le top 3 des #BestCoders MongoDB, nous explique pourquoi il a participé au concours et ce qu’il en retire.
Stéphane, 44 ans, titulaire d’un doctorat de physique et autodidacte en informatique. J’ai débuté, comme presque tous les devs de ma génération sur un micro-ordinateur (Oric 1 pour moi) avec 48ko de mémoire et une fréquence d’horloge de quelques kHz (les unités sont les bonnes !). J’en ai gardé quelques « séquelles » : un attrait pour les algorithmes efficaces, la peur de gaspiller de la mémoire (mais je me soigne) ainsi qu’un penchant pour la console et les lignes de commandes. J’en ai également gardé un goût pour la « bidouille électronico-informatique » qui avait un peu disparu mais qui revient en force, avec les Arduino et autres RaspberryPi en lien avec la déferlante des IoT.
Après avoir codé énormément en Java, je me suis tourné vers le monde web (back-end, sous entendu j’ai un sens esthétique très limité !) : Stack MEAN (pour l’homogénéité) et PHP/Symfony (et j’avoue que j’y prend goût). J’évite tant que possible le front-end, mais sous la contrainte c’est de l’Angular. Je ressors également un peu de Fortran/C++/Python/Matlab sur certains projets. Et j’allais oublier, je bascule maintenant vers la gestion de projet…
Compte tenu de mon parcours je considère que la programmation est avant tout un art qui s’acquiert en codant, et pas nécessairement sur les bancs d’une école. Par contre, les méthodes qui s’apprennent sur ces mêmes bancs sont indispensables pour espérer s’intégrer dans cette industrie.
J’invite mes deux principaux co-claviers : Damien et Frédéric. Ils ne sont pas au courant ! Le message : n’arrêtez pas de râler sinon on va croire que vous êtes malades !
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