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Cet article est le volet #1 de notre étude de 2014 sur le marché des développeurs. Elle concerne les salaires des développeurs web et informatique : par techno, lieu, poste, sexe, type d’entreprise… Ainsi que la satisfaction des développeurs sur leur salaire. L’étude a été réalisée auprès de 512 techs en France (développeurs, lead développeurs, expert techniques, architectes…) en mai 2014.

Accéder aux questions de l’étude
Accéder au volet #2 : le recrutement des développeurs en 2014
Accéder au volet #3 : l’épanouissement des développeurs en 2014
> Note : Voici le Slideshare résumé de l’étude sur les salaires.

1) Salaire à Paris / IDF et en province

En Ile-de-France, le salaire des techs est plus élevé de 18% par rapport à la province. Ceci est à rapporter à une étude réalisée par l’INSEE en 2006 (il y a 8 ans) indiquant que le coût de la vie est de 13% supérieur en IDF qu’en province. Si vous trouvez une étude plus récente, n’hésitez-pas à nous en faire part dans les commentaires. Sinon en ce qui concerne les techs :

      • Les salaires sont quasi-identiques pour les moins de 2 ans (2,6% d’écart)
      • On observe 25,8% d’écart pour les 2-5 ans d’expérience (écart le plus fort).
      • Et 12,4% pour les plus de 5 ans d’expérience.

> Détail des salaires moyens à Paris / IDF par techno et expérience

> Voir toutes les offres d’emploi technique informatique et web à Paris 75

2) Salaire moyen développeur web par technologie

Note importante : Les questions qui étaient posées dans l’étude étaient : « quelles sont vos technos de prédilection » et « quel est votre salaire actuel, variable compris ». Si un tech a répondu « .NET » et « Python », alors son salaire compte pour les deux catégories. Il ne s’agit donc pas des technos « principales » (utilisées dans leur emploi par exemple), mais bien des différentes technos « usitées » par les techs. Par ailleurs, ici on parle de l’ensemble de la communauté des « tech », donc c’est très global. C’est pour cette raison que l’on a préféré afficher un pourcentage d’écart à la moyenne plutôt qu’une valeur absolue (un salaire moyen sur la communauté des techs pour telle techno). On peut se rendre compte que :

a) Salaire développeur PHP (et frameworks Zend, Symfony2)

PHP est en dernière position : techno utilisée par tout le monde où souvent l’on peut observer une disparité de niveau très forte (entre ceux qui maîtrisent réellement et codent « objet » et ceux qui bidouillent). Rassurez-vous, l’expérience montre que si vous êtes spécialistes, vous serez certainement dans la moyenne des salaire (un peu comme les technos mobiles).

Postuler aux offres d’emploi développeur PHP à Paris/IDF (très qualitatif, entreprises sélectionnées, technique et humain++)

b) Salaire développeur Ruby, Python

Maîtriser Ruby ou Python paie bien (+11,6% par rapport à la moyenne des techs). En effet, il y a une forte demande de la part des entreprises sur ces technos (et leurs frameworks très en vogue comme Rails ou Django) mais peu de techs les maîtrisent (faible apprentissage à l’école, beaucoup de passionnés ou d’autodidactes dans ces catégories).

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Postuler aux offres d’emploi développeur Python à Paris/IDF
> (très qualitatif, entreprises sélectionnées, technique et humain++)

c) Salaire développeur Java, C#, .NET, C++

Les bonnes vieilles « technos objet » comme java, C#, .NET… sont au dessus de la moyenne (+3,1%). Sans grande surprise, les techs qui les maîtrisent sont mieux payés par les recruteurs. C/C++ est pile à la moyenne.

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> (très qualitatif, entreprises sélectionnées, technique et humain++)

d) Salaire développeur JavaScript

JavaScript est au dessus de la moyenne aussi (+1,3%) : dans le web, c’est quasiment un incontournable à présent (avec tous ses frameworks). Cette techno est difficile à maîtriser mais vos efforts paieront !

Postuler aux offres d’emploi développeur JavaScript à Paris/IDF (très qualitatif, entreprises sélectionnées, technique et humain++)

e) Salaire développeur iOS, Android

Fréquemment, pour iOS ou Android de forts salaires sont pratiqués. Alors pourquoi ces technos sont un brin en dessous de la moyenne (ou disons dans la moyenne) ? Une explication possible est que c’est une techno que beaucoup de techs découvrent et utilisent de façon « amateur » et qu’ils insèrent à leurs « technos de prédilection » (question du sondage). Pourtant ce n’est bien souvent pas la techno essentiellement utilisée dans leur emploi. Si vous voulez être bien ou très bien payé dans le mobile, faîtes en votre passion et votre coeur de métier !

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(très qualitatif, entreprises sélectionnées, technique et humain++)

3) Salaire par métier

Note importante : au vu du faible nombre de réponses côté directeur technique, nous avons décidé de les intégrer aux experts techniques / architectes (en les enlevant, cela n’influe pas -moins de 0,1%- sur les salaires présentés dans cette catégorie).

Plus l’expérience augmente, plus la qualification « lead développeur » (responsabilités) ou « expert technique » (expertise) influe sur le salaire.

      • Lead dev/dev. Les « lead dev » sont mieux payés de 9,6% par rapport aux « dev » pour les moins de 2 ans puis cela double à 18,2% pour les 2-5 ans, puis 20,4% pour les plus de 5 ans.
      • Expert technique / dev. 10,3% d’écart pour les moins de 2 ans, puis 19,4%, puis 28,7% !
      • Expert technique / lead dev. Salaires très proches pour les moins de 5 ans, 7% d’écart salarial observé pour les plus de 5 ans. L’expertise paie donc un peu mieux.

Ce qui est intéressant de voir c’est que l’on peut faire carrière dans la technique avec un salaire et des responsabilités ou un niveau d’expertise qui évoluent vraiment. Le route « développeur > Chef de projet au bout de 2 à 5 ans » est loin d’être la seule. Si l’on est passionné de technique, on peut en faire toute sa vie !

4) Salaire par taille et type d’entreprise

Note importante : les salaires sont « hors avantages en nature » (tout comme dans la totalité de l’étude).

      • Effectivement les petites entreprises (moins de 20 salariés) paient moins que les autres (même si l’écart n’est pas énorme), surtout en comparaison avec les entreprises de 201-500 employés quelque soit l’expérience.
      • Les petites PME (21-200 salariés) paient clairement mieux que les autres pour les 2-5 ans (plus de 10% d’écart !). Une explication possible est que cette catégorie d’entreprise a un besoin plus fort en techs de 2-5 ans d’expérience que les autres tailles d’entreprises. En tout cas, chez JobProd, nos clients sont constitués à 80% de ce type d’entreprises et ils cherchent à croître avec des techs déjà expérimentés, mais difficiles à trouver sur le marché (donc salaire plus élevé). Nous entendons très fréquemment : « nous cherchons des 3 ans minimum ! ».

Note importante :  Deux biais peuvent venir de cette étude par type : 1) la notion de startup, agence, SSII, éditeur peut être subjective 2) les sondés pouvaient répondre plusieurs catégories (tout comme les technos), par exemple « startup » et « agence web » s’ils considèrent que leur agence est aussi une startup, du coup leur salaire compte dans les 2 catégories.

      • Il est intéressant d’observer que les éditeurs paient les mieux globalement, en tout cas jusque 5 ans d’expérience. En effet ils cherchent souvent les meilleurs techs car le logiciel EST leur métier.
      • Les SSII, contrairement aux idées reçues, paient « dans la moyenne » et ne sur-paient pas leurs jeunes collaborateurs (moins de 2 ans) pour les attirer. Ce sont plutôt les startups qui pratiquent un salaire élevé pour les jeunes. En revanche, effectivement l’écart est important entre une agence web et une SSII (17% d’écart salarial) pour les moins de 2 ans d’expérience, et c’est peut-être de cet écart que l’on parle communément.
      • La progression des salaires (depuis les moins de 2 ans jusqu’aux plus de 5 ans) dans les SSII est vraiment faible comparé aux autres types d’entreprises : 31% pour les SSII, contre 45% dans les startups, 73% dans les agences et 40% les éditeurs.
      • Les startups sont en tête du peloton, voire sont premières pour les plus de 5 ans. Les fleurons IT de l’économie de demain paient bien leur techs et c’est une bonne nouvelle !

5) Différences homme/femme

Note importante : au total 33 femmes ont répondu à l’étude en donnant leur salaire, soit 6,2% des personnes interrogées, hors apparemment, en 2011, les femmes ingénieures dans l’IT représentaient 20,3% de la population (« Ingénieurs de l’informatique et des télécom » page 12 de cette étude.)

      • Ce qui est intéressant c’est que, chez les techs, les hommes gagnent en moyenne (toutes expériences confondues) 15% de plus que les femmes. Selon cet article de l’Express publié en 2012, l’écart dans la population des cadres en France est de 20% entre les hommes et les femmes (tous les techs qui ont répondu à l’étude ne sont pas des cadres, mais ceci permet de donner un comparable). Malgré ces disparités (dont une des explications est la discrimination sans raison), les tech-girls paraissent mieux loties que la moyenne.
      • Par ailleurs, dans ce même article il est indiqué que « L’écart de salaire médian « augmente avec l’âge ».

« Peu élevé chez les cadres les plus jeunes (2%), il croît entre 30 et 34 ans (7%), puis entre 40 et 44 ans (16%) pour se stabiliser à un niveau élevé (22%) à partir de 45 ans. »

Il est intéressant de retrouver cette tendance (croissance de l’écart avec l’expérience) dans notre étude : nous avons 1% pour les moins de 2 ans, puis 5% pour les 2-5 ans, puis 20% pour les plus de 5 ans.

6) Variable dans le salaire

28% des techs ont un salaire avec un variable. Donc 72% des techs ont un salaire purement fixe. Maintenant, voici plus de détails par taille, puis type de sociétés :

      • Par taille de société. Quand le variable n’est pas nul, il est le plus élevé chez les entreprises de moins de 20 personnes (15%), assez logique, car le risque est important et donc partagé avec les collaborateurs.
      • Si l’on prend en compte les techs dont le variable est nul (non affiché dans cette image), cela donne : 2% pour les moins de 20 employés, 3% pour les 21-200, 2% pour les 201-500 et 3% pour les 500+ salariés. Globalement le variable est faible chez les techs, contrairement aux commerciaux où le variable peut représenter la moitié ou plus du salaire global. Les techs ont pourtant des objectifs tout aussi importants que les commerciaux, mais il est fréquent de rencontrer des entreprises qui ne savent pas sur quels objectifs indexer le variable des techs. Vous avez des commentaires ? Commentez 🙂

      • Par type de société. Quand le variable n’est pas nul : il représente 14% pour les agences contre 7% pour les SSII, soit 2 fois plus de variable côté agences. Avez-vous une explication particulière ?
      • Si l’on prend en compte les techs dont le variable est nul (non affiché dans cette image), cela donne : 4% pour les agences, 1% pour les startups, 3% pour les éditeurs et 2% pour les SSII.

7) Salaire, épanouissement et prétentions salariales

Ce qui ressort de cette étude c’est que 43% des techs se déclarent satisfaits ou très satisfaits de leur salaire (donc 57% ne le sont pas). Mais si l’on considère les 2 diagrammes ci-contre, on se rend compte que :

  • Parmi ceux qui se déclarent satisfaits (les 43%), nous avons 85% de techs qui se déclarent « épanouis » dans leur emploi.
  • Parmi ceux qui se déclarent insatisfaits (les 57%), nous avons 74% de techs qui se déclarent « épanouis » dans leur emploi.

Apparemment, le salaire n’est pas un critère prépondérant dans l’épanouissement au travail chez les techs (pour en savoir plus, il suffit de voir le 3ème volet de notre étude !). On peut se risquer à dire que le salaire « contribue à 11% » (85%-74%) dans l’épanouissement des techs. Nous attendons vos commentaires 🙂

Enfin, dernier point, en moyenne les développeurs souhaitent voir leur salaire évoluer de 19% :

20,7% pour les moins de 2 ans
17,6% pour les 2-5 ans
18,6% pour les plus de 5 ans

Rejoignez la discussion 10 Commentaires

  • Bonjour,
    Merci pour cette étude très intéressante,

    Le « +5ans » est perturbant, cela veut dire que 5-10ans, 10-15ans et 15-20ans n’ont aucun intérêt ?

    Cela pousse dans le sens que développeur en France après 5-10ans n’a pas d’intérêt ? Ce qui est le message inverse qu’on voit aux US ou dans des conférences comme DevoxxFR.

    De même maîtriser un langage/framework « moderne » c’est « bankable » pour une entreprise qui aura une personne immédiatement efficace. Mais cette personne n’aura pas forcément le recul par rapport à d’autres manières de développer. Et donc un code moins propre.

    Stratégiquement ces boites ne vont donc pas maintenir mais jeter et refaire. Ce qui n’est pas « gratifiant » pour notre métier et inquiétant comme stratégie très « SSII ».

  • Jean-Philippe,

    Merci pour votre commentaire. Effectivement, le « +5 ans  » est perturbant, je vous le concède, c’est une erreur de conception du sondage (où nous n’avons pas ventilé le « +5 ans » en 5-10, 10-15, 15-20 par exemple). Et je vous confirme (ou plutôt nos clients !), qu’un développeur qui a plus de 10 ans d’expérience « à un intérêt », pour reprendre vos mots 🙂

    Pour reprendre votre 2ème point, il y a effectivement 2 écoles : ceux qui cherchent des spécialistes et ceux qui cherchent des « têtes bien faites » qui peuvent s’adapter à toute situation (et ceux qui cherchent les deux). C’est fréquent d’ailleurs que certaines entreprises, selon les situations, cherchent une fois l’un, une fois l’autre. Je vous rejoins, les développeurs devraient moins être de la chair à canon, inutilisables quand ils ne connaissent pas telle ou telle techno ou bien quand ils ne sont plus adaptés à tel ou tel client. Les entreprises devraient plus investir sur des personnes que des compétences. C’est ce que nous essayons de changer avec notre approche recrutement ! 🙂

    Enfin, quand vous dites qu’une techno « moderne » est plus « bankable », je n’en suis pas sûr. Je pense que vous parlez de Ruby ou Python qui paie 11% plus cher en moyenne en France. Je pense que c’est tout simplement parce qu’il y a peu de gens qui maîtrisent ces technos et donc la rareté augmente le prix.

  • STPo dit :

    JE CHERCHE UN JOB TECHNIQUE ÉPANOUISSANT.

    Franchement, elle est intéressante votre étude, et l’article qui la décortique aussi, mais sa présentation file mal au crâne (« voir en plus grand le graphe » ?!) et ces calls to action de requins en plein milieu sont franchement dispensables. Dommage.

    • Aurélie de JobProd dit :

      Bonjour Christophe, comme je vous disais sur twitter, nous faisons au mieux, sachant que :
      – Nous sommes des experts pour sélectionner des développeurs passionnés et des entreprises techniques épanouissantes, mais nous ne sommes pas des experts en design
      – Notre but est de rendre le plus de développeurs heureux dans leur travail, ça passe par des articles, des actions que nous mettons en place, et par notre métier (d’où ces call to action, pour que les gens sachent où ils sont et ce qu’on peut leur permettre de faire).

  • kevin dit :

    Bonsoir,

    Il est vrai que ce sondage est fort intéressant. Mais ô combien perturbant pour des jeunes développeurs comme moi. Je m’explique, je viens de finir une licence pro en développement Web (php) et en stage au sein d’une grosse entreprise (130 salariés) en développement avec symfony 2.
    Hors avec ce genre de statistiques l’on peut se poser la question de : quelle est la meilleure technologie à apprendre pour les jeunes aujourd’hui dans le Web ??

    En effet, php est bien moins payé si on ne connaît pas de framework un peu plus si on en connaît un…. Alors que faire ? Se spécialiser à fond dans un framework comme symfony ou prendre le risque d’apprendre d’autres langages comme ruby ou java mais ne pas les maîtriser parfaitement ?

    Merci pour vos avis 🙂

    • Bonjour Kévin, merci pour votre commentaire et votre intérêt.
      Là notre étude se base sur des faits tangibles : technologie, lieu, type de société, expérience… Mais nous n’avons pas posé de question du type : « êtes-vous apprécié de vos collaborateurs ? Avez-vous un bon niveau technique ? Etes-vous passionnés par le développement ? » pour rendre l’étude la plus objective possible.

      Hors ce sont ces questions que vous devez vous poser en premier. Pas le choix de telle ou telle techno. Car c’est, en réalité, ce qui influe le plus sur votre salaire. Je connais des développeurs php extrêmement bien payés (bien mieux que des devs ruby) car ils sont passionnés par leur métier, toujours à l’écoute des nouveautés et apportent beaucoup de valeur à leur entreprise (qui les rémunère en conséquence).

      Les calculs dans la vie professionnelle ne vous permettront pas d’atteindre vos objectifs personnels. Faites ce que vous aimez, vous brillerez. Et le salaire suivra. Voyez le salaire comme une conséquence de votre travail, et non un point de départ, sinon vous risquez de faire une carrière qui ne correspond pas à ce que vous avez au fond de vous.

      Symfony, java, Ruby, php : on s’en fout éperdument !

  • Abdel dit :

    En effet, l’acquisition de nouvelles compétences techniques (langage de programmation, logiciel, systèmes d’exploitation…) participe à l’évolution de la responsabilité et des salaires des développeurs. Merci pour ces éclairages.

  • Lionnel dit :

    @kevin effectivement chercher à trouver LA techno qui paye ou qui est porteur est une utopie.

    D’une part sans expérience il sera difficile de maitriser une techno parfaitement d’un coup. En effet il faudra passer par plusieurs expériences et projets différents sur différents langages et framework et acquérir une « lucidité » sur son métier (développeur web front/back/les deux, mobile, client lourd etc..) puis l’apprentissage d’un framework supplémentaire sera de plus en plus rapide et la question du choix de la techno n’aura plus vraiment lieu d’être car le temps d’apprentissage de nouveaux concepts sera réduit.

    D’autre part, nous sommes dans une ère tellement changeante, une techno en balayant une autre chaque année qu’essayer de trouver la bonne pioche me parait impossible.

  • Pierre dit :

    Bonjour,

    J’ai une question, dans vos sondages on voit des salaires en fonction de l’ancienneté occupée sur certains postes, mais il est clair qu’un lead tech qui sort des études et qui a 1 ans d’expérience n’a pas la même valeur sur le marché qu’un dev qui au bout de 5 ans devient lead tech.

    Est ce que cette différence est prise en compte ?

    Car quel intérêt de passé de dev senior à lead tech junior si le salaire basse ou n’augmente pas avec la prise de responsabilité ?

    Merci d’avance

  • excellent article qui présente ces intéressants informations pour les développeurs .
    merci pour le partage .

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