Aujourd’hui c’est le nouvel article de Marcy et on va parler d’égalite femme-homme : ouh yeah !
J’imagine que vous avez déjà entendu parler de cette entreprise qui a envie de changer le monde de l’entreprise en alertant sur la qualité de vie au travail et les problématiques liées à la parentalité. Si ce n’est pas le cas, retrouvez notre podcast où l’on en parle avec Martin, Damien et Pascal Van Hoorne du blog Histoires de Papas.
Delphine et son équipe se fraient un chemin certain dans la quête de l’égalité femme-homme. Je crois que plus que jamais, nous devons déterminer ensemble quel sera le nouveau visage de cette dite égalité; mais aussi les moyens d’y parvenir. Ma Bonne Fée et notamment Delphine permet à de nombreuses entreprises de repenser l’égalité femme-homme au sein des équipes de collaborateurs-trices.
Je vous propose alors cette interview qui s’est faite avec authenticité, qui porte un message à la fois d’espoir et de détermination. Rencontre avec l’entreprise qui va nous présenter comment sa démarche va devenir incontournable.
Je vous souhaite une bonne lecture !
Delphine C : Bonjour Marcy ! Alors, chez Ma Bonne Fée, nous proposons des offres personnalisées à l’attention des particuliers et des entreprises. Pour la partie particuliers, nous mettons en place, notamment de la garde d’enfants; mais aussi la garde de nuit pour les jeunes parents qui souhaitent se reposer grâce à une Bonne Fée. Nous faisons aussi du soutien scolaire; et bien plus encore. Du côté entreprise, on accompagne les RH avec des newsletters dédiées, des articles instructifs sur tous les sujets qui peuvent les toucher. Nous réalisons des baromètres de QVT, des accompagnements de crèches inter-entreprises.
D.C : Une bonne qualité de vie au travail est indispensable à l’épanouissement des collaborateurs puisque qu’elle permet de conjuguer une vie personnelle épanouie et une vie professionnelle satisfaisante. L’équipe de Ma Bonne Fée oeuvre pour la reconnaissance du caractère important des risques psycho-sociaux liés à la qualité de vie au travail. Evidemment, pour tous et toutes. En fait, nous croyons qu’une entreprise alerte aux problèmes rencontrés par les collaborateurs-trices gagne en performance puisqu’elle booste ses employés en prenant en compte les petits tracas qui peuvent devenir de gros problèmes.
Delphine : Alors, disons que la tech est un milieu qui génère davantage d’embauches masculines que féminines. De plus, la tech est composée de sortants directs d’école d’ingénieurs et scientifiques qui regroupe une majorité d’hommes. De ce fait, il est évident que les femmes doivent s’y faire une place, et parfois prouver qu’il y est possible d’être dev et féminine (en tout cas, qu’elles ont le droit de se détacher des clichés de la tech sans y être moins pertinente). D’ailleurs, les femmes devs prouvent qu’on peut faire parti de l’écosystème tech sans être forcément recruteuse. La tech regorge de talents féminins, cependant il est vrai qu’on ne pense pas systématiquement à elles quand on parle de succès. Comme dans tous les milieux, il y a une vigilance quant à l’inclusion. Cependant, les changements sont progressifs. D’ailleurs, ils sont heureusement accélérés par le déploiement de la marque employeur, atout majeur de la gestion des talents par les ressources humaines.
Delphine : En effet cela passe par le recrutement. Les RH sont de toute évidence, les garantes des bonnes pratiques des entreprises. Bien rédiger une annonce est la garantie d’une bonne perception de la diversité sous-jacente de celle-ci. De plus, il existe des organisations telles que Women in Tech qui vise à une meilleure mise en valeur des femmes dans la tech. Il est important de s’y inscrire si on est une femme dans la tech qui a envie de faire bouger les lignes d’inégalité qui y existent. Women in Tech, par exemple, consiste à fédérer le maximum d’entre nous afin d’organiser une stratégie d’alliance. Le but ? Dépasser l’état actuel de minorité des femmes dans l’IT. Une véritable opportunité pour mettre en exergue les accomplissements des femmes !
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