Fullstack ne suffisait pas alors ils ont inventé le « BlackOps » !
Posté originalement sur Medium, viens clapper avec nous ici ? : https://medium.jechercheundev.fr/interview-les-blackops-chez-destygo-257a8b4feaf5
En ce moment, on rencontre plus de 50 entreprises par semaine. Dans le processus, on prend toujours le temps d’échanger au téléphone avec la personne en charge du recrutement. Et ces rencontres sont toujours passionnantes !
J’avais envie de vous en partager une de ces rencontres. Guillaume m’a parlé de son entreprise et du profil qu’il recherche. Ils ont inventé un mot pour le décrire, c’est le « Black Ops » , oui, comme dans Call Of Duty. Le sujet nous a intrigué, et on eu envie d’en savoir plus pour vous rapporter une belle histoire !
On a rencontré Guillaume, Stéphane, Pierre et Jonas. Je vous invite à prendre le café et à faire connaissance au travers de ces quelques échanges. BlackOps fever !
Interview BlackOps chez Destygo.
Damien : Bonjour Destygo ! Pouvez-vous expliquer avec vos mots ce qu’est l’entreprise ?
Guillaume : Destygo est une startup technologique dans le domaine de l’intelligence artificielle conversationnelle (chatbots) appliquée aux domaines du voyage, transport et du tourisme. On crée une technologie permettant aux entreprises dans ces domaines de créer des Chatbots performants et inventifs pour assister leurs voyageurs.
Le titre de Poste “BlackOps” a attiré notre attention ! Pouvez-vous le présenter de manière simple ?
Stéphane : On développe de la technologie complexe, donc on cherche des gens qui sont capables de comprendre nos problématiques dans la globalité. Il faut voir ce poste comme un vrai poste d’ingénieur, au même titre que pour la construction d’un immeuble, mais appliqué à la construction de chatbots.
Comment vous en êtes arrivés à cet intitulé de poste ?
Jonas : On voulait trouver un titre qui englobe bien toutes les facettes, que l’on comprenne bien que le poste est particulier par sa diversité, et qui soit un peu sexy j’avoue.
Comment on sait qu’on est fait pour le poste de BlackOps ? Quelles sont les qualités pour en devenir un ?
Guillaume : Quand on passe l’entretien avec Pierre ! ?
C’est un mélange entre un profil ingénieur orienté “Math/Algo” et un profil info qui crée des architectures complexes. On pourrait aussi appeler ça : “Full Stack Data Scientist Engineer” mais ça semblait pas clair !
Jonas : On a envie d’apprendre, mais tout, surtout pour tous les aspects d’un produit comme le nôtre. On n’a pas peur de nouveaux langages, on n’a pas mal à la tête dès qu’on commence à penser aux problématiques (ahaha).
Stéphane : Si on aime jouer aux légos en étant petit, parce qu’en vrai c’est un peu pareil !
Quel est le quotidien d’un Dev chez Destygo ?
Jonas : On reste une start-up, il n’y a pas de quotidien. Un jour on va préparer la mise en production d’un grand compte, donc on travaille sur la scalabilité de la stack, un autre notre team d’account manager aura besoin d’une feature pour un projet. Le tout est de trouver le bon équilibre de priorité pour avancer sur le bon projet au bon moment.
Stéphane : L’avantage, c’est que le contenu des chatbots, le branchement des APIs etc. est entièrement effectué par les autres équipes de Destygo, donc ça nous permet de nous concentrer sur des sujets très techniques.
Qu’est-ce qui ne changera jamais dans votre organisation ?
Pierre : Cela serait le SCRUM qui est incontournable au sein des team tech, et l’ownership de chacun sur son projet. C’est un produit qui est résultat d’un travail d’équipe, mais chacun est maître de sa brique.
Guillaume : La transparence, on tient à ce que chacun puisse exprimer ses ressentis, ses attentes et ses suggestions ! On fait souvent des “One-to-One” où chacun des membres de la team se pose 15 minutes avec un autre collègue pour échanger leurs avis. Lorsque l’on sent qu’il y a quelque chose qui revient souvent, on corrige pour améliorer la trajectoire de la boite !
Qu’est-ce qui vous motive chacun à vous lever le matin pour venir travailler chez Destygo ?
Jonas : Déjà l’équipe, parce que mine de rien on rigole bien. Et ensuite le travail qu’on y fait! En 1 an ici j’ai plus appris que les 3 dernières années sur les sujets qui m’intéressent pour m’améliorer. Le travail ne manque pas, tout est a faire, donc on a la liberté de pouvoir diriger nos membres d’équipe vers ce qu’ils veulent vraiment faire.
Guillaume : Pareil, l’équipe ! On se base à chaque fois sur 3 critères :
1) Est-ce que la personne apporte quelque chose de nouveau à l’équipe ? (compétence, trait de personnalité)
2) Est-ce que la personne va pouvoir grandir avec l’entreprise ? (niveau perso et pro) ?
3) Est-ce que c’est une bonne personne ? (Morale, éthique, loyal).
Si les 3 réponses sont oui, c’est un win pour tout le monde !
Stéphane : Pas très original, mais oui l’équipe donne envie, c’est évident. Et au niveau du travail en lui-même, c’est exactement ce que je recherchais ! Je me suis surpris à trouver des façons hyper innovantes de résoudre nos problèmes, avec des outils que je découvre jour après jour. Et on arrive toujours à se répartir les tâches entre nous pour toujours faire ce qui nous donne le plus envie.
Quelle est, individuellement, la chose que vous êtes le plus fier d’avoir accompli au sein de, ou grâce à Destygo ?
Guillaume : D’avoir persévéré durant les moments difficiles ! Régulièrement, il y a des difficultés qui paraissent insurmontables, il suffit de s’accrocher et l’aventure continue. Une bonne équipe et un projet motivant aide énormément dans ces moments.
Jonas : Je suis tellement fier de tout ce que je fais, en partie parce que c’est la première fois que je les fais, c’est donc dur de répondre. Pour continuer dans le même esprit, je dirais : « continuer à me challenger tous les jours pour en apprendre toujours plus ».
Quel sera le plus grand accomplissement de l’équipe Destygo d’ici 5 ans ?
Guillaume : D’avoir créé une super boite en apprenant énormément et en s’étant éclaté ! C’est facile d’oublier l’un ou l’autre quand on fonce tout les jours.
Jonas : Avoir réussi a faire grandir un produit tech avec ses équipes simplement, parce que mine de rien on a pas un code des plus simples, mais tout le monde arrive à le prendre en main.
